Dans son arrêt de grande chambre, la Cour Européenne des Droits de l’Homme a donné raison aux autorités Suisses à 9 voix contre 8, dans l’affaire des affiches de Neuchâtel du Mouvement Raélien.

“Les différentes courts de justice qui ont traité le dossier au fil des années ont toutes trouvé des raisons fantaisistes d’atteinte aux bonnes mœurs pour justifier la décision de la ville de Neuchâtel d’interdire les affiches du Mouvement Raélien dans l’espace publique de la ville.”

“Les juges ont tantôt repris des accusations mensongères de pédophilie alors que le Mouvement contribue depuis des années à aider les victimes des prêtres catholiques pédophiles au travers de son association Nopedo, ou d’autres accusations de trouble a l’ordre public pour sa position en faveur du clonage alors que c’est un droit fondamental d’exprimer une opinion, même si elle n’est pas populaire”. “ La grande chambre de la CEDH, qui ne pouvait nier nos actions anti-pédophiles et notre droit à la liberté d’expression, a quant à elle innové en ajoutant un autre grief en assimilant le Mouvement Raélien Suisse à une entité commerciale, écartant ainsi toute considération de liberté d’expression en prétendant que l’objectif du Mouvement Raélien Suisse était à but lucratif, ce qui est totalement scandaleux. Le Mouvement Raélien Suisse est une association à but non lucratif avec des objectifs philosophiques très clairs qui ne pouvaient échapper aux juges de la CEDH ».

C’est pour ces raisons, qu’un appel est en cours auprès des Nations Unies afin de rétablir la vérité sur le statut et les valeurs du Mouvement Raélien Suisse.